« à vélo, je suis zen ! »

Cédric, restaurateur à vélo










Cédric est restaurateur dans le Vieux-Lille. À la tête de deux établissements, il enchaîne les services, les livraisons, les déplacements, les imprévus. Comme beaucoup de professionnels de la restauration, son emploi du temps est tendu. Chaque minute compte. Chaque détour est une contrainte. Longtemps, il s’est appuyé sur la voiture pour tout faire : relier ses restaurants, transporter des produits frais, improviser un achat en dernière minute.

Mais les choses ont changé. Cédric n’a pas renoncé à ses exigences. Il a simplement changé de rythme. Moins de temps perdu à chercher une place. Moins de tension dans les bouchons. Moins d’essence brûlée dans le vide. Depuis qu’il s’est mis au vélo, il gère mieux, il se sent mieux. Et il en parle avec une simplicité qui donne envie d’essayer.

Une cuisine bien huilée, même sur deux roues

Mais les choses ont changé. Cédric n’a pas renoncé à ses exigences. Il a simplement changé de rythme. Moins de temps perdu à chercher une place. Moins de tension dans les bouchons. Moins d’essence brûlée dans le vide. Depuis qu’il s’est mis au vélo, il gère mieux, il se sent mieux. Et il en parle avec une simplicité qui donne envie d’essayer.

« Le vélo, c’est devenu mon réflexe. Je suis plus ponctuel, plus calme… plus efficace. »

Ce portrait, c’est l’histoire d’un chef d’entreprise qui a su ajuster ses outils pour rester libre de ses mouvements. Sans militantisme. Sans injonction. Juste avec du bon sens, un vélo bien choisi, et un accompagnement bien tombé.

D’un essai à un usage pro, le déclencheur

Tout commence par un test. Un vélo en location longue durée, proposé par la Métropole Européenne de Lille. Cédric se laisse tenter, sans se projeter plus loin. À l’époque, il n’a pas de garage, pas d’espace dédié. Le vélo ne répond pas encore à toutes ses attentes. Il s’en sert, un peu, notamment pour transporter ses courses — jusqu’à les glisser sur le siège bébé de son fils. Ce n’est pas optimal, mais c’est un début. Et comme souvent, un incident va servir d’accélérateur. Le vélo est volé. Cédric aurait pu revenir à la voiture. Au contraire, il y voit une opportunité : celle de s’équiper correctement.

Il part donc à la recherche d’une solution plus adaptée. Il veut un vélo urbain, fiable, pratique, maniable. Pas un engin lourd ou encombrant. Il découvre le Muli, un mini-cargo pliant à mi-chemin entre le vélo classique et le vélo de livraison. Ce vélo, c’est le bon format au bon moment. Léger, compact, facile à garer, il se faufile partout en ville. Il transforme l’expérience.

« Ce qui a changé la donne ? Le bon vélo, au bon moment, avec les bons conseils. »

Le choix du Muli, Cédric le fait en connaissance de cause. Il sait ce qu’il attend. Il connaît ses trajets, ses contraintes. Il ne cherche pas à tout transporter d’un coup. Il veut un vélo agile, rapide, sûr, capable d’encaisser plusieurs allers-retours par jour. Et surtout, il veut se libérer de la dépendance à la voiture pour tous ces petits trajets chronophages qui ruinent les journées.

Le résultat est immédiat. Il roule plus, plus souvent, sans y penser. Il découvre une nouvelle fluidité dans sa façon de circuler, de s’organiser. Et surtout, il gagne du temps.

Moins de stress, plus d’efficacité

Avec deux établissements à faire tourner, Cédric connaît les joies des journées à rallonge. Déplacement entre les restaurants, courses chez les fournisseurs, imprévus en cascade… La voiture, dans ce contexte, s’était transformée en facteur de stress. À Lille, en semaine, trouver une place de stationnement relève parfois de l’exploit. Les minutes perdues à tourner en rond finissent par peser. Sans parler des PV, des bouchons, des passages en double file… Bref, un quotidien à gérer sous pression.

Avec son vélo cargo, il a retrouvé de la maîtrise. Il se gare devant (ou dans) son établissement. Il part faire une course et revient dans la foulée. Il enchaîne les livraisons ou les transferts de matériel sans se soucier de la circulation.

« À vélo, je suis zen. Je maîtrise mon temps. Et j’arrive avec le sourire. »

Ce n’est pas seulement une question de confort. C’est une vraie amélioration de la qualité de travail. Moins de stress, c’est aussi plus de concentration, plus de disponibilité pour ses équipes, pour ses clients. Il peut prendre le temps là où c’est utile, et accélérer quand il le faut. Son vélo devient un outil à part entière, aussi précieux que sa batterie de cuisine ou sa caisse enregistreuse.

Et ce changement d’organisation, il le mesure aussi financièrement. Le bilan inclut l’essence, les frais de stationnement, l’entretien du véhicule, les pertes de temps et d’efficacité. Ce calcul, il ne le brandit pas comme un argument de vente. Il en parle parce qu’il est parlant. Parce qu’il montre que le vélo n’est pas une option marginale, mais une vraie stratégie de gestion, rentable et crédible.

« L’idée, ce n’est pas de remplacer, mais de répartir intelligemment. »

Cédric n’a pas jeté ses clés de voiture. Il l’utilise encore, ponctuellement, quand c’est nécessaire. Pour un déplacement en dehors de la métropole, pour transporter du matériel volumineux… Il a simplement inversé la logique. La voiture est devenue l’exception. Le vélo, la base. Et dans cette nouvelle hiérarchie, tout gagne en cohérence.

S’équiper, tester, ajuster : la clé, c’est l’accompagnement

Ce que l’expérience de Cédric montre, c’est que l’entrée dans la mobilité vélo ne repose pas sur la volonté seule. Il ne suffit pas d’y croire pour que cela fonctionne. Il faut les bons outils, les bons conseils, le bon moment.

Lui-même le reconnaît : sans le test initial, sans l’offre de location de la MEL, sans la découverte du Muli, il ne se serait peut-être jamais lancé. Ce qui a tout changé, c’est l’enchaînement. Un premier essai, une prise de conscience, un besoin identifié, une solution trouvée.

Et surtout : un accompagnement disponible. Car choisir un vélo professionnel, ce n’est pas une mince affaire. Il faut penser à la maniabilité, à la capacité de chargement, au stationnement, à la sécurité, à la météo, à l’entretien… Chaque détail compte. Et un mauvais choix peut vite décourager.

Cédric le dit sans détour : un professionnel n’a pas de temps à perdre. Il lui faut une solution qui fonctionne dès le départ, ou presque. Une solution qui s’intègre à ses contraintes, qui respecte ses impératifs. Ce n’est pas à lui de s’adapter au vélo. C’est au vélo de s’adapter à lui.

« Un vélo adapté, un rythme ajusté, et la liberté de bouger autrement, sans renoncer à rien. »

Son message est clair : il ne s’agit pas de faire la révolution. Il s’agit d’optimiser. De gagner en souplesse, en agilité. De s’ouvrir de nouvelles possibilités, sans renoncer à l’efficacité.

Et pour ça, il faut oser essayer. Même si tout n’est pas parfait au début. Même si le premier vélo n’est pas le bon. Même si un vol vient perturber le parcours. L’essentiel, c’est de rester en mouvement, d’apprendre, d’ajuster. C’est ça, l’esprit vélo.

FAQ - Se mettre au vélo pro comme Cédric

 Parce qu’elle devenait une source de stress et de perte de temps : bouchons, stationnement, imprévus. Le vélo loffre plus de maîtrise, de ponctualité et de sérénité.

Non. L'exemple de Cédric est marquant. Il l’utilise encore ponctuellement, quand c’est nécessaire. Pour lui, ce n’est pas une opposition, mais une répartition intelligente des usages.

Cédric a commencé par un test de vélo en location longue durée proposé par la MEL. Cela lui a permis de découvrir les avantages du vélo en conditions réelles. Le Programme Marguerite offre un test personnalisé pris en charge à 75%.

Tester. Commencer par une location, échanger avec des pros, se faire conseiller. L’important est de trouver le vélo qui correspond à ses usages.

 Non. Cédric n’est pas militant. Il est pragmatique. Il a choisi le vélo pour gagner du temps, du confort et de l’efficacité. C’est un outil, pas un manifeste.

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